Crédit: Google_Images |
J'étais si freluquet, si faible à l'intérieur que ton amour m'a alourdi.
Dans la profondeur du sommeil j'entends ta voix à l'extérieur si fort qu'elle
m'a abasourdi. Tu vis dans l'inconscient de mon être que tu sois un virus ou
une maladie je m'en fiche de ce malheur. Je te trouve si tranquille à
l'intérieur que tu me fasses vivre chaque jour avec ardeur ; si un jour tu
t'en sors je vivrais comme une ardeur. Si un jour tu t'enfuis à mes yeux tu seras
très répugnante donc, comme maintenant tu es ici présente à mes yeux comme
d'habitude tu es très séduisante...je vis avec fragilité pour garder l'amour
dans sa validité, mon cœur était en vacarme mais tu l’as réclamé avec stabilité,
avec habilité je t'en donne la clef avec fiabilité. Je suis comme un fou égaré
au milieu d'un désert dévasté. Si un jour je perds la raison de t'aimer ce sera
le pire moment de l'histoire de mon existence ou un événement désastreux...si
je ne cesserais pas de transir d'amour ce serait la pire transformation de ma
carrière. Quand l'orchestre s'arrêtera, je danserai encore, quand le temps
s'arrêtera je t'aimerai encore...
Si l'amour
était le sport je serais l'assistance d'amour. Si l'amour était une tentation
je me protègerais contre l'attirance d'amour. Si l'amour était la maladie, la
mort, les produits périmés, moi, je vivrais dans l'abstinence d'amour. Si un
jour je perdais la personnalité d'amour par ma faute j'aurais pour ma propre
tête une aversion mortelle...si tu n'es plus là pour me condenser, pour me
compenser volontairement je passerais à la version mortelle ou à la pression
bordelle. Quand je te vois je me sens très optimiste mais en ton absence je me sens
très pessimiste. Toi, près de Moi pas comme un styliste mais comme des stylistes,
transi d'émotion, je ne suis plus le même désespéré et tout sombre. Quand je
suis près de toi je vois que vos sourires sont irrépressibles et votre cœur bat
à tout rompre....une seule touche, je vois tes jambes qui gigotent, tes yeux
qui clignotent et ta lèvre très souple...les mains qui vacillent, les palpitations
et la manque de souffle. Si tu n’étais pas dans ce monde pour moi, ce monde
serait un monde à éviter ; tomber amoureux c'est de faire une expérience
de spontanéité.
Au milieu du firmament étoilé tu es la seule planète qui éclaire le monde, qui donne la lumière même dans le tréfonds de l'ombre. Tu as le pouvoir de faire tourner et de faire changer la façade...tu as le pouvoir de faire marcher le handicap et de lui faire marquer la parade. Tant que je continue à t'aimer mon cœur ne cessera jamais de battre la chamade.
Stanley DELY
Etudiant en Sciences Juridiques
FDSEG-Cap
Jeune Penseur
|
Catégorie :
Amour
Félicitations Stanley!!!
RépondreSupprimerTout mes felicitations mon freo
RépondreSupprimerJ'étais...
RépondreSupprimerJ'étais un conseiller
Un homme de confiance
Une personne généreuse
Tout le monde m'aimait
J'étais l'exemple de tous
Avec un cœur hospitalier
De bonnes gens m'imitaient
Ma vie refletait le bonheur
J'étais là bien inculqué
Dans le cœur des miens:
Ma famille, mes camarades
Mes vieux amis de toujours
J'étais la bonne référence
En matière d'instruction
L'homme aidant des élèves
Des amis à aller de l'avant
J'étais bien plus que tout
L'ami des gens pauvres
Des personnes orphelines
Le samaritain par excellence
J'étais vu comme l'idole
Connu pour ma façon d'être
Le rédempteur des damnés
Le chirurgien des cœurs brisés
J'étais forcément l'icône
Du changement tant rêvé
La statue de la liberté
De ceux qui sont esclaves
J'étais le modèle certain
Des écrivains de partout
La muse des penseurs
La force des révoltés
J'étais moi-même féru
De tous les bouquins
Engoué de mon talent
Fasciné par celui des autres
J'étais tout de suite devenu
Une personne nullissime
L'opprobre inimaginable
J'ai manqué à mon devoir
J'étais sujet à caution
J'ai justement fait faux bond
J'ai tout perdu en un clin d'œil
La pénurie de rien m'a tout pris
Bien reçu
SupprimerUn très beau texte !