La femme du passé

Publié par :JEUNE PENSEUR •octobre 23, 2018

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Je cherche l'héritière d'une femme ancienne

Je veux aimer, même si aimer n'est qu'une chose incertaine ;

Même si les gens aiment par centaines.

Je veux aimer sans penser à la haine, sans penser à la peine.

Tu sais, je cherchais à m'épargner contre le ruisseau de la guerre

Et maintenant je suis tombé dans le terrain.

Pourtant ça ne me vaut guère

Même si je suis dans le pétrin.

Elle est une puissante sorcière, une vilaine mégère

Au pied léger...sans humeur!!

Mon être se relâche dans un élan de détente…

Mon cœur rempli de haine, la trompeuse devient reine

Et tout autour se prélasse dans une torpeur démente....

L'infidélité!! Oui, ça lui plaît

Mais je sais que la vie est une fête, pas question d'abandonner sans délai.

J’ai vendu ma confiance sans rendu compte de sa rentabilité,

Sans habilité, je m'enivre de sensualité.

Je sens à l'intérieur de moi le regret qu'à peine paraître

Et fait naître les remords qui ne devraient pas être...

L'amour donne du temps

Mais le hasard ne nous donne pas du temps.

Sur la route de la solitude je parcours à 100 vitesses

Sans justesse, c’est l'injustice qui prime en premier lieu dans une relation en détresse.

Je ne m'inquiète pas si j'ai perdu un être cher.

Sans contrôle, toi, à qui j'ai promis la chair de ma chair

J'en ai ni l'envie et encore moins le choix.

La détresse, c'est celle qui me déchoit

La tristesse c'est celle qui me déçoit

Ma raison est fragile et désarmée surtout mal attentionnée

Mes idées, mes paroles entrelacées surtout mal intentionnées.

Des baisers, des câlins éphémères et des actions cachées maintenant sont interdits

Toi, ex esprit de mes songes et ange de mes nuits.

Maintenant, esprit maléfique déesse des interdits

J'ai voulu créer un amour inéluctable mais j'en suis déçu que tu ne sois pas une créatrice.

J'ai voulu transporter mon rêve dans un monde réel mais j'en suis déçu que tu ne sois pas une réaliste.

Comme un bateau sans boussole en pleine mer

Comme un avion sans pilote en plein air

Je me suis donné corps et âme pour qu'elle me réclame

Elle ne faisait rien que de me faire verser des larmes...

Tu n'es pas sitôt parti

Que mon cœur se repartit.

Ce n'est pas de la comédie et je pense vraiment ce que je dis

Il me reste en tête le souvenir de ta voix

Et les jours de joie.

Calmement d'un air résignant

Tout à coup, dans ma tête remonte un triste instant.

Toi, qui m’as tant donné des espoirs.

Et voilà mon cœur est en lambeaux

Et plein de désespoir

Comme un roi qui a perdu son château.

Mon Corps va là ou va l'eau

Assurément je n’ai pas de radeau...

La vie est belle chargée de surprise, des petits détails qui ne paient de mine

Des petits bouts de gestes qui soudain illuminent

Et un souffre entre les mots, un rire qui culmine.

Je laisse mon passé dans le couloir qui conduit vers mon future, les regrets profonds qui tuent,

Sans un remord, sans un regret je partirai sur l'océan

Vers le territoire que siège le présent où je pourrai oublier tous les tourments.

J'embarquerai sur le navire de l'oubli sans jamais revenir

Maintenant c'est fini.

Mes yeux remplis de larmes et un cœur rempli d'amertume

Je ne t'écris pas avec crayon mais avec plume.

L'ennui est le souffre-douleur de la vie

Il nous attaque sans qu'il ne nous demande pas l'avis.

Je tourne la page dans laquelle elle se trouve sur la marge.

Je la retire dans mon cœur même si les ventricules pourraient tomber en érosion

Oui!! C'est vrai, l'ennui pour l'être humain est la pire des émotions.

Le destin nous a réuni, puis séparé et oui c'est le devoir de la vie.

Je trouve l'une qui fait semblant d'être parfaite parce que l'homme n'est plus parfait mais déjà elle me fait sentir dans une autre planète. Une planète où habitent les habitants de l'amour. Une femme que j'aime vêtue d'une robe rose entourée de pétale partout très sensuelle et glamour. Toi et moi, nous sommes arrêtés là. La certitude, les habitudes sont arrêtées là, je change de page et je coupe dans mon cœur la trajectoire de la servitude du passage. Maintenant pas de regret ; je me sens bien, va t'en, je t'appellerai s'il le faut. J’avais pourtant soigné mes défauts comme il faut mais c'est maintenant que je prenne pour de vrai l'homme qu'il faut à la place qu'il faut...