Inconsciemment je marche dans la vallée de l'amertume que personne n'est
plus là pour me condenser...je me sens si accablé par le préjudice du désespoir
que personne n'est plus là pour me compenser. J'ai agi selon mes émotions et
maintenant j'agis selon ma raison pourtant je veux réparer les préjudices mais
je t'attends personnellement pour commencer. Je vis dans une vie chargée des
aléas pourtant dans cette vie chargée de ces aléas je rêve d'être le premier
lauréat...malgré j'accumule le pardon et la pitié je continue de vivre à
l'excès. Si tout est impossible je détourne de mon chemin tant que je risque
sur une chose qui pourrait me conduire au décès....je ne suis pas mauvais
pourtant je ne suis pas parfait mais j'essaie justement d'être le plus sage. Je
cherche la personne parfaite mais il va falloir que je fasse un triage celui
qui me paraît bien sera m'en servir comme usage. Je n'arrive plus à compter mes
erreurs car je ne suis pas fort en mathématique...tu ne comprends pas mes
écrits donc je suis désolé que mes écrits soient thématiques. On disait souvent
que les hommes sont plus forts quand ils savent leurs faiblesses...si on était
des animaux peu importe les genres d'animaux, soit que tu étais une chatte et
moi un coq en toute circonstance on formera une seule espèce.
Je vis dans le néant et j'agis dans l'être. Je vis dans le présent pour
pourvoir éviter les cas échéants qui pourraient naître. Je me sens si séant que
j'évite les erreurs pour ne pas succomber dans les terreurs. J'ai lu un journal
titré "la vie dans la solitude"
soudainement j'ai vu mon nom sur l'affiche. Mon cœur est en friche j'ai besoin
de l'aide mais personne ne s'en fiche....je me sens si bien quand je suis en
ivresse je ne me rappelle de rien et j'aime bien quand mon cœur est en liesse.
Si tu étais dans la marée je risquerais volontairement de t'attraper même s'il
y aurait des orages...si tu étais dans un navire au moment de l'écoulement je
risquerais de t'attraper même s'il y aurait du naufrage ; vite!! vite!! La
séance pour remettre le trophée de l'amour va
commencer il faut que tu sois à l'heure...moi je me dépêche pour être là
dès la première heure sinon ce sera mon malheur.
Comme une chanson sans refrain, comme un accusé sans témoin je n'arrive
plus à m'écarter du conditionnel, il y aura toujours un si, même si je change
de phase. J'écris mon passé pour comprendre le présent afin de préparer le
futur mais il y aura toujours un si, même si je change la phrase. Je rime, je
parle et mes paroles reflètent de la sensibilité et de la pitié, mes paroles ne
sont pas des chansons peut-être des poèmes. Je rime, je parle justement pour
l'attirer, pour l'attraper parce que c'est elle que mes mots aiment.....je n’ai
pas les mots pour traduire le langage de l'amour c'est inexprimable. Il y a
tellement de mots pour expliquer les phénomènes de mon cœur que les mots sont
inexplicables...je veux m'exprimer à haute voix mais trop de questions pertinentes.
Je décide de garder les réponses car trop de questions persistantes... j'ai
toujours eu la force d'avancer plus loin pourtant j'ai toujours rencontré des
cas tristes...j'ai toujours eu la force d'assumer mes conséquences même s'il y
aurait des cicatrices.
Stanley DELY
Étudiant en Sciences Juridiques
FDSEG/CAP
Jeune Penseur
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Catégorie :
Amour
Une vie d'amour dans la solitude où le conditionnel domine. Félicitations Stanley !
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